Qui paie ses dettes... (1)

Catégories : Femmes fessées
il y a 1 an
  • Le prêt que nous vous avons consenti, ma chère Geneviève…
  • Devait être remboursé le premier mars. Je sais, oui, je sais.
  • Et nous sommes le premier novembre.
  • Je vous paierai… Je vous paierai, je vous le promets. Laissez-moi seulement un peu de temps.
  • Nous vous en avons déjà accordé beaucoup. Beaucoup trop.
  • Encore un mois. Juste un mois.
  • Ce n’est malheureusement pas possible.
  • Je vous en conjure.
  • Ce ne serait pas vous rendre service. Et nous allons malheureusement devoir prendre des dispositions.
  • Comment cela ?
  • Nous allons être dans l’obligation de demander à votre mari de bien vouloir honorer les dettes que vous avez contractées.
  • Mon mari ? Oh, non, pas mon mari ! Je vous en supplie ! Pas mon mari…
  • Sans doute y a-t-il des choses que vous redoutez qu’il apprenne ? Et notamment que vous éprouvez, pour les jeunes gens, un attrait immodéré.
  • Taisez-vous ! S’il vous plaît…
  • Et que cette passion vous revient cher.
  • Ne le lui dites pas ! Ne lui dites rien ! Je vous le demande à genoux.
  • Eu égard au fait que nous avons toujours entretenu d’excellentes relations, que nous sommes fréquemment amenés, vous, lui et nous, à dîner aux mêmes tables, à partager les mêmes parties de bridge, nous voulons bien consentir à faire preuve à votre endroit d’une certaine mansuétude. Et à vous accorder de nouveaux délais.
  • Merci. Oh, merci.
  • À une condition toutefois…
  • Qui est ?
  • Que vous acceptiez d’être sanctionnée pour votre inqualifiable comportement et d’offrir, de bonne grâce, la partie la plus charnue de votre individu à une fessée dont vous reconnaîtrez avec nous qu’elle est on ne peut plus méritée.
  • Une fessée ! Non, mais vous n’y pensez pas ! C’est hors de question ! Absolument hors de question…
  • Dans ces conditions… Nous dînerons tout à l’heure, mon frère et moi, avec ce cher Léopold… – Écoutez !
  • On n’écoute rien du tout. Cette conversation n’a qu’assez duré. Et nous ne reviendrons de toute façon pas sur notre décision.
  • Mais c’est affreux ! Épouvantable. Non, vous ne pouvez pas me demander ça. Une femme de mon âge… De ma condition…
  • Vous avez deux minutes pour vous dévêtir. Pas une de plus…
  • Vous êtes…
  • Pensez ce que vous voulez, mais dévêtez-vous !

2-

  • Eh bien voilà ! Vous voyez que vous pouvez vous montrer raisonnable quand vous voulez.
  • Finissons-en, je vous en prie…
  • Oh, mais rien ne presse. Nous avons tout notre temps. Nous l’avons même d’autant plus que la nature s’est montrée extrêmement généreuse à votre égard. Et c’est un pur délice que de pouvoir contempler vos charmes tout à loisir. Qu’en penses-tu, mon cher Victor ?
  • Que ce serait plus délectable encore si notre amie consentait à retirer ses bras de là où ils se trouvent.
  • Mais oui ! Allons, un bon mouvement, Geneviève ! Vous n’êtes de toute façon pas en position de nous refuser quoi que ce soit. Là ! Eh bien, voilà ! Parfait ! Absolument parfait ! Vous êtes vraiment bénie des dieux, vous !
  • Si vous devez…
  • Vous rougir le derrière ? Oh, mais nous y comptons bien. Nous tenons toujours nos promesses. Par contre, je ne sais pas ce que tu en penses, mon cher Victor, mais maintenant que nous avons pu nous faire une idée précise du théâtre des opérations, nous pourrions peut-être laisser une dernière chance à notre amie et différer la sanction de quelques semaines. Qu’elle ait éventuellement le temps de rassembler la somme qu’elle nous doit.
  • Je n’y crois guère.
  • Moi non plus ! Mais elle pourra toujours mettre ce délai à profit pour songer encore et encore à ce qui l’attend.

(à suivre)

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